Le Parti national (Partido Nacional en espagnol) surnommé le Parti blanc (Partido Blanco en espagnol, PN) est un parti politique qui regroupe des mouvements d’un large spectre politique de centre droit et droite d’Uruguay, maillot de l’om créé le 10 août 1836 par le général Manuel Oribe. Ngonda Muzinga marquera le but du 0-2 juste avant la mi-temps, d’une magnifique reprise de volée à la suite d’un centre mal dégagé par la défense niçoise. A peine 3 jours plus tard, les dijonnais se déplacent à Nîmes pour un « match de la peur » entre deux mal classés. Dans un match haché, les deux équipes peinent à créer du jeu. L’écart de niveau se verra très rapidement puisque les parisiens ouvriront le score dès la deuxième minute de jeu par Moïse Kean. Ce choix se montrera judicieux puisque le jeune gardien suisse arrêtera le pénalty de Nguette en début de match. N’ayant pas encore d’accord avec un nouveau coach pour remplacer Stéphane Jobard, c’est David Linarès (alors adjoint de Jobard) qui assure l’intérim pour le déplacement à Metz, et ce dernier décide de faire un choix fort en titularisant le jeune Anthony Racioppi à la place d’Allagbé dans les cages. Les bourguignons ouvriront le score très tôt dans la rencontre grâce à une réalisation du jeune parisien Ebimbé, bien servi par Celina.
Les visiteurs égaliseront après la mi-temps, mais les dijonnais n’abdiqueront pas, et Ecuele Manga égalisa d’une tête précise sur un corner bien tiré par Celina. Les nîmois ouvriront néanmoins le score par Mattéo Ahlinvi à la suite d’une belle action collective. Les hommes de Jobard se procureront deux situations intéressantes, avec une frappe lointaine de Didier Ndong bien repoussée par Gautier Larsonneur, puis une jolie frappe de Rayan Philippe aux 18 mètres, mais le gardien brestois reste encore vigilant. Dans un match très fermé, les deux équipes ne parviennent pas à se créer des situations intéressantes, même si les lorientais obtiendront un pénalty (que Wissa tirera sur le poteau droit d’Allagbé). Les bourguignons n’inquiéteront pas Mike Maignan, qui passera une soirée tranquille. Sauf que son but sera refusé pour une position de hors-jeu. Néanmoins, le visage montré par la troupe à Linarès est bien plus intéressant que d’habitude, et les occasions s’enchainent devant le but messin.
En seconde mi-temps, Moussa Konaté (qui avait commencé le match sur le banc) deviendra le héros du soir, puisqu’il marquera le but de l’égalisation, avant de délivrer une passe décisive à Baldé, puis pour conclure sa prestation de haut niveau marquer le but du 1-3 dans le temps additionnel. L’équipe chinoise emmenée par son joueur star Uzi échoue pour la seconde fois à ce niveau de la compétition. Les locaux essayeront de réduire le score en dominant la seconde mi-temps (Lees-Melou trouvera d’ailleurs le poteau de Racioppi), mais c’est bien Dijon qui marquera le troisième but, Baldé profitant d’un cadeau de la défense niçoise pour battre Benitez pour la seconde fois de la rencontre. Mama Baldé ouvrira par la suite le score, mais les dijonnais se feront égaliser peu de temps après. Mama Baldé va ensuite ouvrir le score, profitant d’une contre-attaque bien mené par Ebimbé. Ebimbé a ensuite l’occasion de marquer contre son club formateur, mais ça fuit le cadre. À la suite du but, les dijonnais pousseront pour revenir au score, et Ebimbé pensera égaliser juste avant la mi-temps. Malgré un début de match équilibré, ce sont les monégasques qui vont ouvrir le score, par Kevin Volland.
Tête de série lors du tirage des huitièmes de finale, le Paris SG hérite d’une double confrontation contre le Valence CF, troisième lors championnat d’Espagne 2011-2012. Le match aller à l’Estadio de Mestalla débute bien avec une frappe de Lucas repoussée par le poteau. En quête d’une première victoire à domicile, les hommes de David Linarès reçoivent un Monaco en plein doute après 3 défaites consécutives. C’est toujours en quête d’une première victoire que les dijonnais se déplacent à Nice (alors en plein doute à la suite de résultats décevants en championnat et en Ligue Europa). À l’issue d’une saison, il n’est pas conservé par la chaîne. Assalé provoque un pénalty pour son équipe, mais Mounir Chouiar (qui ne devait pas le tirer normalement) perd son duel face à Alexandre Oukidja. Le déplacement à Strasbourg, maillot porto qui est aussi en pleine doute avec le même bilan que les bourguignons (3 matchs / 3 défaites) semble être le duel de la peur. La réception du Stade Brestois 29 semble être une bonne occasion pour enfin lancer la saison du côté dijonnais.
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